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Attribuer un logement temporairement le temps que la famille retrouve son autonomie tout en proposant un accompagnement social​
La famille T.
Une famille comorienne (une mère et ses deux enfants dont une handicapée) est installée dans un grand studio avec mezzanine rue Pavillongrâce au réseau du collège Monticelli particulièrement animé par Bénédicte Nasraty. Les enfants sont scolarisés et suivis activement par l’assistante sociale du collège. La situation administrative est régularisée.
La famille M
Famille albanaise composée des parents et trois enfants accueillie jusqu’à présent dans une salle de la paroisse Saint Défendant ont été pris en charge par l'association et sont logés dans un T3. les deux grands sont en apprentissage. Ils sont accompagnés par un comité de soutien de la paroisse.
La famille T
Une famille d’origine pakistanaise (1 mère et 3 enfants 14,15 et 16 ans) ont fui leur pays pour cause d’un projet de mariage forcé de l’aînée. Cette nouvelle famille a intégré un T2 . La famille est accompagnée par un professeur du collège Renoir où la fratrie a été scolarisée un temps. Par ailleurs, une amie proche de la famille est également référente. Là encore la dynamique de l’institution scolaire est très forte et l’accompagnement social se met en place. La jeune fille Zahra a décroché le 15 décembre 2022 un contrat de professionnalisation alternant 1 semaine de cours au Centre de Formation et 2 semaines en restauration. Le diplôme visé est le CAP cuisine.
La famille G
Une famille de réfugiés ukrainiens, conséquence de la guerre suite à l’invasion russe est logée rue des Abeilles au 5° étage sans ascenseur. Depuis environ six mois et demi, une mère et son fils fuyant la guerre sont logés rue des Abeilles dans un petit appartement proposé par une adhérente souhaitant venir en aide aux réfugiés. Du mobilier a vite été rassemblé dans le réseau.
Cette mère et son fils avaient une bonne situation socioprofessionnelle à Kiev. Ils ont actuellement le statut de réfugiés. Sofia,membre de la paroisse orthodoxe du quartier Longchamp,est leur référente. Ils bénéficient de papiers en règle. Le jeune garçon, étudiant en architecture, tente de faire traduire ses diplômes en France pour obtenirl’équivalence et pouvoir ainsi travailler. Il exerce quelques missions sur Nice.
Paul-Pierre
, Etudiant sénégalais, logé au 88 boulevard Longchamp. Paul-Pierre a arrêté ses études en faculté pour s’orienter sur une formation par apprentissage de niveau II en logistique/transport. Il est déjà accepté par l’organisme de formation de la
profession. Il a trouvé une entreprise et est embauché en contrat d’apprentissage. Après avoir rassemblé ses économies, il est actuellement en train de passer son permis. Il cherche activement à libérer cette chambre d’étudiant afin que d’autres puissent en profiter. Il est à la recherche d’un studio.
La famille A.
Originaire d’Albanie logée à la place J.Jaurès toujours accompagnée par Stéphane Rio, professeur au lycée Saint Charles. Les deux fils ont maintenant quitté le lycée. L’aîné attaque sa deuxième année d’IUT. Le second, toujours très investi en club de foot, il est en D2, rêve de devenir footballeur. En parallèle de ce projet il travaille à temps plein comme serveur.
La famille S.
D’origine ukrainienne,est toujours logée dans le T3 boulevard Baille depuis Noël 2021. Au début de l’été 2022, grande nouvelle les deux parents ont été régularisés. Ils sont ainsi entrés dans le cycle de formation à l’emploi exigeant cours de français pour l’un et l’autre sur des horaires pas toujours compatibles avec ceux des enfants. Andreï et Olga sont accompagnés par Christian et Marie, fidèles amis de la famille. Les trois enfants sont scolarisés à Ste Marie-Madeleine aux Chartreux, un enseignement spécifique leur est proposé au vu des diverses difficultés d’apprentissage. Les déplacements occupent toujours beaucoup la maman. La CAF aura mis plusieurs mois à se mettre en place, ce qui occasionne de grosses difficultés financières à la famille. Le collectif de soutien est plus qu’indispensable !
Jacqueline
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Rencontrée à la Conception, elle a subi des maltraitances par les personnes qui l’hébergeaient. Cent pour un toit a pu lui proposer une mise à l’abri dans l’urgence, elle est toujours hébergée et ne bénéficie d’aucune aide ni perspective immédiate au niveau administratif. Une aide alimentaire solidaire et un soutien fraternel sont mis en place.
Ibrahim
jeune guinéen, malheureusement «démineurisé», a été sorti de la rue par Bénédicte Nasraty. Il est logé dans une chambre de bonne chez une amie de Bénédicte. Il est scolarisé au collège Monticelli, mais son niveau très faible et sa situation incertaine ne favorisent pas un climat assez serein pour réussir.
Prise en charge par France horizon
Judith
Judith est originaire du Togo. Victime de violences extrêmes, elle a subi le verdict terrible du droit coutumier, a été répudiée, et a dû fuir son village . C’est en passant par l’Espagne qu’elle est arrivée en France en Mars 2020. Elle était enceinte de jumeaux. A Marseille, elle a été hébergée un temps chez des compatriotes.
100%
autonome
Jerry
Jerry et son enfant, originaire d’Érythrée, a également trouvé son autonomie. Son parcours d’intégration a commencé par le réseau Welcome, avant d’être logée par « 100 pour 1 toit », mais participant à son loyer. Elle est d’abord soutenue par des bénévoles et des travailleurs sociaux. Très active et parlant relativement bien le français, elle trouve du travail dans la restauration.
Maintenant, munie d’un titre de séjour et d’un CDI, elle assure entièrement son loyer et cherche un appartement de type 3 à son compte. Objectif atteint également
​Marianne
et
Leonardo
Marianne et Leonardo sont originaires du Cameroun.
Ils ont fui une situation de maltraitance et de contrainte dans un contexte familial et traditionnel.
Leur passage par la Libye les a vu séparés, emprisonnés et maltraités de nouveau, jusqu’à ce que la traversée périlleuse de la Méditerranée se présente à chacun d’eux.
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100%
Autonome
100%
autonome
La famille MEHMETI
La famille M est originaire du Kosovo. Le couple et leurs deux enfants ont quitté ce pays en 2010 à la recherche d’une vie plus sure compte tenu de problème religieux dans leur pays d'origine et de problème de santé pour leur aîné. les enfants sont scolarisés et sont pris en charge par des professeurs du lycée professionnel Brochier.
Patrick
et
Passy
Patrick et Passy
Rencontrés à la maternité à la naissance de leur petite fille en décembre , ils ne pouvaient être logés par l’institution car le réseau était saturé.
Cent pour un toit les a hébergés pendant 2 mois jusqu’à ce qu’ils accèdent à une place en CADA.
Ils sont aujourd’hui en attente de la convocation de l’OFPRA.